On sait depuis longtemps que telle ou telle chose n'est pas ok pour nous, que ce n'est pas vraiment sain, pas porteur. On sait qu'on perd beaucoup d'énergie avec telle personne ou telle chose.
Mais on s'y sent attaché, on ne veut pas lâcher, on ne sait pas comment faire.
Puis il y a ce switch.
✨ Cet accompagnement.
✨ Cette séance.
✨ Ces paroles entendues.
✨ Cet exemple que l'on voit chez l'autre.
Et PAF!
Ça s'ancre en nous : ça suffit.
🤍 JE suis.
🤍 JE vis.
🤍 JE décide.
Alors un jour, on envoie ce message, on fait ce pas, on prend cette décision.
On veut faire de notre vie un espace léger, joyeux, nourrissant, donc il y a de l'aménagement à faire!
Il y a des liens à couper, des limites à poser, des dynamiques à changer :
➡ avec soi-même
➡ et avec les autres
Quand mon mental vient m'embêter avec ses "et si, et si, et si" je lui réponds "oui, mais untel ou telle chose, je l'emmerde"
Le fameux "je t'aime et je t'emmerde" de Marie Imanence je l'adore 😃❤️
C'est pas méprisant, c'est pensé avec amour, c'est simplement le mouvement de revenir à soi, et ce refus du bullshit que l'on s'impose alors qu'on a pas à le faire.
❤️ On peut aimer quelque chose ou quelqu'un de tout son coeur et s'écouter et se respecter soi-même.
C'est un cheminement, un apprentissage, mais ce n'est plus négociable.
C'est goûter à son pouvoir.
Son pouvoir de décision, de création, sa liberté d'être et de choisir la vie que l'on veut vivre.
Le poids, le poids, le poids, des conditionnements, de l'attente des autres, des conventions sociales, de la bien-pensance, des loyautés et héritages, des peurs. MERDE. Je les emmerde.
